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Le mystère reste complet sur la démission d’Alice Sadio de la présidence de l’Alliance des forces progressistes (Afp).
On se souvient que c’est le 28 janvier 2020 que Sadio a écrit au bureau politique de son parti, en passant par le secrétaire général, avec à l’objet un seul mot : « Démission ». La démission avec effet immédiat porte sur trois points : la présidence du parti ; le secrétariat général de la Plateforme pour la nouvelle République ; et la qualité de membre de l’Afp.
D’après les Statuts de l’Afp, le vice-président ou n’importe quel autre membre, sur décision du bureau politique, devra assurer l’intérim jusqu’au prochain congrès, repoussé à cause du double scrutin du 09 février 2020.
Plusieurs faits peuvent servir de socle d’explication au départ fracassant d’Alice Sadio : des fake news circulent depuis peu, laissant croire à une alliance entre l’Afp et le Pcrn de Cabral Libii ; elle estime que les élections du 09 février n’ont pas de raison d’être, et pourtant l’Afp y participe…
L’opinion reste suspendue aux lèvres d’Alice Sadio pour une explication plus claire de ses motivations.